Avec l’entrée dans les études supérieures, de nombreux étudiants sont contraints de quitter leur ville natale pour se rendre dans la ville où ils vont étudier (par exemple Wasquehal). Cela peut-être perçu comme une contrainte, mais également comme l’opportunité de se lancer dans la vie autonome. L’un des risques au départ du foyer familial est un sentiment de solitude et de nostalgie, c’est pourquoi beaucoup d’étudiants choisissent d’opter pour une colocation afin de se sentir moins seuls.
Un petit écosystème
Si vous choisissez de vendre un appartement à wasquehal, il est possible que votre bien soit acquis par deux ou trois (rarement plus) étudiants. Ces
derniers peuvent se connaître d’avant, être ou non dans la même promotion, ou bien juste s’associer par intérêt économique. La colocation permet en effet aux étudiants de bénéficier d’un appartement plus grand et plus confortable que s’ils prenaient un studio chacun.
Bien entendu, cette cohabitation demande d’établir des règles de vie en commun, pour éviter que des tensions se cristallisent autour des aspects les plus triviaux (occupation de la salle de bain, courses, ménage, cuisine…). La colocation demande un minimum d’harmonie pour être agréable, mais fait également figure de pôle social. Dans les grandes écoles notamment, où les promotions ont tendance à être très soudées, une colocation entre plusieurs étudiants peut servir de point de ralliement aux autres, par exemple en cas d’organisation de soirée. Cela implique malheureusement parfois de devoir renoncer à une certaine tranquillité…
Les facteurs extérieurs
En tant que jeune, votre projet d’installation à Wasquehal peut être compromis par divers facteurs. Tout d’abord, l’offre immobilière : il est possible que vous ne trouviez pas l’appartement de vos rêves, surtout si votre admission se déroule tard (exemple des élèves issus de classe préparatoire). Divers facteurs peuvent être éliminatoires, comme la taille, le loyer, ou une localisation trop éloignée de l’école.
L’autre grand facteur à prendre en compte : les parents. Quand on entre dans les études supérieures, il est très rare d’être en situation d’autosuffisance économique, et la grande majorité des fonds provient des parents. S’ils n’approuvent pas le projet ou qu’ils le trouvent trop cher, vous ne pouvez pas y changer grand-chose…